« On ne peut rien espérer de bien venant d’une espèce en guerre contre elle-même. Ni autrefois, ni jamais. »

Résumé…

Une princesse visionnaire qui ne laissera personne lui dicter sa conduite. Un soldat idéaliste déchiré entre son cœur et ses devoirs. Une chasseuse intrépide traquant la plus dangereuse des proies. Un traître déterminé à venger le sang de son peuple. Un voleur insaisissable qui multiplie les faux-semblants. Un monde immense et magique au bord du chaos, dont la clé se trouve peut-être au fond d’une bouteille de fumée…

Mon avis…
On se rend compte de la puissance d’une couverture et d’un titre quand vous finissez par lire du space opéra (alors que vous n’aimez pas ça) et que vous vous rendez compte que si vous aviez vu la couverture du grand format, jamais vous ne l’auriez acheté.

J’ai tout même laissé une chance à cette histoire, persuadée de pouvoir aimer. Finalement ça a été une déception que je suis contente d’avoir terminée. Tout d’abord, l’univers est assez complexe et j’ai eu un peu de mal, au début, à rentrer dedans. Il y a beaucoup de nouvelles informations (surtout que je ne connais rien à la science). Vers la fin, cela finit par s’arranger.

Les personnages sont nombreux mais assez bien développés. Je ne dirais pas que je me suis vraiment attachée à eux, mais ils apportent tous quelque chose d’intéressant à l’histoire. Lovey, l’IA, est de loin la plus déroutante. Elle occupe une place très importante, et permet à l’auteur d’aborder des sujets importants de la bonne manière.

Un rythme un peu lent, qui n’a pas su me convaincre

L’histoire ne m’a pas convaincu. Je n’ai pas trouvé la poésie que je pensais avoir. L’histoire est lente et l’intrigue principale (si on peut parler d’intrigue) redescend comme un soufflé à la fin.

Je n’irais donc pas découvrir la suite et je le laisse aux amateurs de SF. Je pense seulement que ce n’était pas le bon moment pour cette lecture.

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Les autres tomes…
Les voyageurs, tome 2 : Libration
Les voyageurs, tome 3 : Archives de l’exode