« La mort est la seule promesse que nous tenons tous. »

Genre : Fantasy
Première publication : 2021
Nombre de pages : 793
Prix : 19,90€
Résumé…
Mia fait maintenant partie des Lames de Notre-Dame du Saint Meurtre au sein de L’Église rouge. Mais beaucoup pensent qu’elle n’a pas mérité ce titre. Elle commet des assassinats au nom de l’organisation, mais au fond d’elle son objectif est resté le même : se venger des responsables de l’assassinat de sa famille. Après une confrontation avec un mystérieux ennemi, Mia commence à douter des vraies motivations de L’Église rouge.
Lorsqu’il est annoncé que Scaeva et Duomo vont faire une apparition aux Grands Jeux de Sépulcra, la cité des morts, Mia choisit de défier l’Église rouge et se fait délibérément enlever afin d’être vendue à une troupe de gladiateurs. Par ce moyen et en gagnant les Grands Jeux, elle pourra s’approcher au plus près des assassins de sa famille et enfin accomplir sa vengeance. Mais tout ne va pas se passer comme prévu…
Mon avis…
Il est rare, d’après mon expérience, qu’un tome deux (lors d’une trilogie) soit à la hauteur du premier tome. Jay Kristoff a réussi cet exploit !
Pour cette fois, j’ai sciemment fait l’impasse sur les notes de bas de page. Je les reprendrais peut-être une fois la trilogie terminée pour en savoir plus sur l’univers mais elles cassent, une nouvelle fois, la lecture.
Le premier tome était déjà rempli d’action et je me demandais comment il était possible de faire plus, d’aller encore plus loin. C’est chose faite. Cette fois on s’approche d’une ambiance à la hunger games, de quoi me convaincre sans grande difficulté. Les événements s’enchaînent ne laissant que peu de répit au lecteur. En revanche il y a encore peu de réponses à nos questions concernant la nature de Mia. Je pense que le dernier tome sera axé sur ça (du moins je l’espère).
Un second tome qui suit les traces du premier
La nouvelle intrigue est prenante et nous tient en haleine.
On en apprend un peu plus sur l’univers avec quelques détails supplémentaires et de nouveaux personnages même si cela n’est pas le centre de l’histoire. La fin est remplie de nouvelles questions et relance (comme si c’était nécessaire) l’histoire.
C’est une nouvelle réussite pour moi. Malgré ses 750 pages, on se retrouve une nouvelle fois happé par l’histoire et la dynamique du livre. A présent je dois prendre mon mal en patience pour lire le tome 3.


Les autres tomes…
Nevernight, tome 1 : N’oublie jamais
Nevernight, tome 3 : Darkdawn (anglais)